Avec le vent des Alizées, des vagues ou des plans d'eau paisible et une mer chaude toute l'année, les eaux de la Martinique sont idéales pour la pratique de nombreux sports nautiques.
Depuis le 1er janvier 2020, les 9 parcs naturels marin dépendent de l’Office français de la biodiversité (OFB). L’OFB est un établissement public dédié à la protection et la restauration de la biodiversité dans l'hexagone et les outre-mer.
Créés à l'initiative du Comité régional des pêches maritimes et des élevages marins de la Martinique, 3 cantonnements de pêche visent un maintien durable de l'activité de pêche à travers la protection de la ressource.
La pêche de loisirs est une activité très pratiquée en Martinique sous différentes formes : la pêche à pied depuis le rivage, la pêche de plaisance à bord d'un bateau ou la chasse sous-marine.
Que ce soit en termes de faune, de flore, de paysages ou d’écosystèmes, la richesse du Parc naturel marin est exceptionnelle. Les écosystèmes qui y sont retrouvés sont représentatifs de l’ensemble de la Caraïbe.
L’oursin blanc, Tripneustes ventricosus, est un invertébré qui est présent dans toute la Caraïbes. On l’appelle, également, communément le chadron blanc et plus spécifiquement, en Martinique, le caviar des Antilles, en raison de son succès gustatif.
Document stratégique qui déterminera l’ensemble des actions du Parc naturel marin de Martinique pour les 15 prochaines années, le plan de gestion décidera des mesures de protection, de connaissance, de mise en valeur et de développement durable à mettre en œuvre.
Les aires marines protégées sont des espaces délimités en mer dont l'objectif est la protection du milieu marin tout en permettant le développement raisonné des activités.
Les herbiers ou prairies sous-marines sont des végétaux qui se développent sur des fonds sableux. Ils sont indispensables à la stabilisation des substrats tout en favorisant l’oxygénation de l'eau.
C’est en 2010, à l’issue de l'analyse stratégique régionale que l’intérêt de créer un Parc naturel marin en Martinique a été identifié pour répondre aux nombreux enjeux de préservation des patrimoines naturel et culturel et des usages en mer.
La raie léopard, de son nom scientifique, Aetobatus narinari, fait partie comme les requins, des chondrichtyens, qui sont les poissons cartilagineux. On l’appelle également, raie aigle, du fait de sa nage gracieuse réalisée avec amplitude grâce à ses ailes pectorales, comparable à un vol d’oiseau, et de son museau plat, en forme de bec.