Créés à l'initiative du Comité régional des pêches maritimes et des élevages marins de la Martinique, 3 cantonnements de pêche visent un maintien durable de l'activité de pêche à travers la protection de la ressource.
Le Parc naturel marin s’étend de la côte martiniquaise jusqu’à la limite extérieure de sa zone économique exclusive et couvre une superficie de 48 900 km².
L’oursin blanc, Tripneustes ventricosus, est un invertébré qui est présent dans toute la Caraïbes. On l’appelle, également, communément le chadron blanc et plus spécifiquement, en Martinique, le caviar des Antilles, en raison de son succès gustatif.
Les 28, 30 septembre et 2 octobre, une centaine d’acteurs de la mer, élus, administratifs, pêcheurs, chercheurs ou scientifiques, se sont réunis à l’invitation du Parc naturel marin de Martinique, afin de réfléchir ensemble à la stratégie de gestion de la mer à mettre en place pour les 15 prochaines années.
Durant quatre jours, des scientifiques et plongeurs ont sillonné la baie des Anses d'Arlet, de Fort de France, du François, Robert et de Trinité, afin de prélever des échantillons d'herbiers, en vue d'affiner leur protocole de suivi.
Une première phase de repérage des bateaux hors d'usage a été effectuée dans la baie du Marin, de Fort de France, du Robert et du François afin de pouvoir procéder dans un second temps à leur enlèvement.
Le Parc naturel marin de Martinique a mis en place un suivi aérien des bateaux en stationnement afin de mieux comprendre les dynamiques du territoire et localiser, caractériser et quantifier les bateaux sur leurs lieux d'ancrage, tout autour de la Martinique.
En kayak, à pied ou en bateau, les agents du Parc naturel marin de Martinique sensibilisent les usagers de la mer. Baigneurs, professionnels des loisirs nautiques, plaisanciers, plongeurs amateurs... de passage ou résidant en Martinique, tous sont initiés aux bonnes pratiques à adopter pour limiter les pressions sur le milieu marin.