Des amérindiens, premiers navigateurs venus du continent sud-américain, qui ont laissé très peu de traces, aux colons qui ont marqué de leurs empreintes les quatre coins de l’île en construisant des forts, fortins ou phares, jusqu'aux affres de l’esclavage et l’arrivage par la mer de milliers d’Africains, l’histoire de la Martinique est douloureusement et intimement liée à la mer.
Créés à l'initiative du Comité régional des pêches maritimes et des élevages marins de la Martinique, 3 cantonnements de pêche visent un maintien durable de l'activité de pêche à travers la protection de la ressource.
Avec le vent des Alizées, des vagues ou des plans d'eau paisible et une mer chaude toute l'année, les eaux de la Martinique sont idéales pour la pratique de nombreux sports nautiques.
Les aires marines protégées sont des espaces délimités en mer dont l'objectif est la protection du milieu marin tout en permettant le développement raisonné des activités.
La pêche de loisirs est une activité très pratiquée en Martinique sous différentes formes : la pêche à pied depuis le rivage, la pêche de plaisance à bord d'un bateau ou la chasse sous-marine.
L’oursin blanc, Tripneustes ventricosus, est un invertébré qui est présent dans toute la Caraïbes. On l’appelle, également, communément le chadron blanc et plus spécifiquement, en Martinique, le caviar des Antilles, en raison de son succès gustatif.
Le Parc naturel marin s’étend de la côte martiniquaise jusqu’à la limite extérieure de sa zone économique exclusive et couvre une superficie de 48 900 km².
Il existe 3 centres de construction et réparation navale en Martinique : le bassin de Radoub, le centre de carénage de Fort de France et le centre de carénage du Marin.
Les 28, 30 septembre et 2 octobre, une centaine d’acteurs de la mer, élus, administratifs, pêcheurs, chercheurs ou scientifiques, se sont réunis à l’invitation du Parc naturel marin de Martinique, afin de réfléchir ensemble à la stratégie de gestion de la mer à mettre en place pour les 15 prochaines années.