Le Parc naturel marin s’étend de la côte martiniquaise jusqu’à la limite extérieure de sa zone économique exclusive et couvre une superficie de 48 900 km².
Les sites de plongées de Martinique sont variés et riches. Ils permettent de découvrir aussi bien une biodiversité marine haute en couleurs que de nombreuses épaves.
Depuis le 1er janvier 2020, les 9 parcs naturels marin dépendent de l’Office français de la biodiversité (OFB). L’OFB est un établissement public dédié à la protection et la restauration de la biodiversité dans l'hexagone et les outre-mer.
La raie léopard, de son nom scientifique, Aetobatus narinari, fait partie comme les requins, des chondrichtyens, qui sont les poissons cartilagineux. On l’appelle également, raie aigle, du fait de sa nage gracieuse réalisée avec amplitude grâce à ses ailes pectorales, comparable à un vol d’oiseau, et de son museau plat, en forme de bec.
Créés à l'initiative du Comité régional des pêches maritimes et des élevages marins de la Martinique, 3 cantonnements de pêche visent un maintien durable de l'activité de pêche à travers la protection de la ressource.
Avec le vent des Alizées, des vagues ou des plans d'eau paisible et une mer chaude toute l'année, les eaux de la Martinique sont idéales pour la pratique de nombreux sports nautiques.
Que ce soit en termes de faune, de flore, de paysages ou d’écosystèmes, la richesse du Parc naturel marin est exceptionnelle. Les écosystèmes qui y sont retrouvés sont représentatifs de l’ensemble de la Caraïbe.
L’oursin blanc, Tripneustes ventricosus, est un invertébré qui est présent dans toute la Caraïbes. On l’appelle, également, communément le chadron blanc et plus spécifiquement, en Martinique, le caviar des Antilles, en raison de son succès gustatif.
La pêche de loisirs est une activité très pratiquée en Martinique sous différentes formes : la pêche à pied depuis le rivage, la pêche de plaisance à bord d'un bateau ou la chasse sous-marine.
Les herbiers ou prairies sous-marines sont des végétaux qui se développent sur des fonds sableux. Ils sont indispensables à la stabilisation des substrats tout en favorisant l’oxygénation de l'eau.