L’oursin blanc, Tripneustes ventricosus, est un invertébré qui est présent dans toute la Caraïbes. On l’appelle, également, communément le chadron blanc et plus spécifiquement, en Martinique, le caviar des Antilles, en raison de son succès gustatif.
Document stratégique qui déterminera l’ensemble des actions du Parc naturel marin de Martinique pour les 15 prochaines années, le plan de gestion décidera des mesures de protection, de connaissance, de mise en valeur et de développement durable à mettre en œuvre.
L’île est entourée de beautés. De beautés fragiles. De beautés nourricières.
Depuis l’installation et le développement de nos sociétés humaines, ces beautés sont en péril. Des espèces ont disparu de nos eaux, les lamantins de sont plus visibles que dans les contes, les phoques moines également…
Comme tout parc naturel marin, le Parc de Martinique vise la connaissance et la protection du milieu marin ainsi que le développement durable des activités maritimes.
Le conseil de gestion est l’organe de gouvernance du Parc naturel marin de Martinique. Il est composé d’acteurs locaux et de représentants des usagers du milieu marin.
Selon l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN), les espèces exotiques envahissantes constituent la troisième menace pesant sur les écosystèmes. Les poissons lions présents dans la Caraïbe en font partie et constitueraient l'une des invasions les plus rapides d'un point de vue environnemental.
Que ce soit en termes de faune, de flore, de paysages ou d’écosystèmes, la richesse du Parc naturel marin est exceptionnelle. Les écosystèmes qui y sont retrouvés sont représentatifs de l’ensemble de la Caraïbe.
La raie léopard, de son nom scientifique, Aetobatus narinari, fait partie comme les requins, des chondrichtyens, qui sont les poissons cartilagineux. On l’appelle également, raie aigle, du fait de sa nage gracieuse réalisée avec amplitude grâce à ses ailes pectorales, comparable à un vol d’oiseau, et de son museau plat, en forme de bec.